Assemblée Générale à Metz : les cours et partiels annulés jusqu’à 15h30
C’est une nouvelle journée d’Assemblées Générales qui commence. A 12h30, une AG est organisée sur le site du Saulcy à Metz. A 15h30, c’est l’AG des lycéens à Nancy.
16h12 : Le comité de mobilisation du Saulcy sera en direct sur Radio Campus Lorraine ce soir, à partir de 19h au 99.6 à Nancy et au 106.1 à Metz.
16h10 : Retour sur la situation au Saulcy, à Metz. L’alarme incendie résonne au SHS.
16h : Point info à Nancy. Entre 30 et 40 personnes présentes à l’Assemblée Générale lycéenne. Des débats sont organisés :
16h : Point info avec Valentin, en direct du Saulcy. Le blocus total n’aura pas lieu pour l’instant :
15h56 : Le vote pour le blocus total est annulé.
15h55 : Les UFR-ALL et SHS seront bloqués à partir de demain matin. L’UFR-DEA ne sera pas bloqué.
15h52 : L’Assemblée passe au vote du blocus total du Saulcy.
15h50 : Résultats pour l’UFR-DEA (Droit, Economie, Administration) : 2 pour le blocus, 57 contre.
15h49 : L’UFR-ALL vote le blocage : 305 personnes en faveur du blocus, 285 contre.
15h49 : L’UFR-SHS vote en faveur du blocage : 231 voix pour, 180 voix contre.
15h35 : On fait un tour à Nancy, place Dombasle où a lieu l’Assemblée Générale des lycéens. Une vingtaine de personnes sont présentes, des lycéens mais aussi des étudiants et des membres de l’UNEF.
Marine, reporter RCL, fait un point sur l’ambiance de ce début d’AG :
15h32 : L’UFR-SHS (Sciences Humaines et Sociales) vote avant de retourner en cours.
15h31 : Le système de vote change. Les étudiants se séparent en deux groupes : les pour et les contre le blocus total. Le comité de mobilisation compte les voix.
15h30 : Point en direct avec Valentin, reporter RCL présent sur place. Le système de vote est modifié :
15h26 : Le vote est reconduit.
15h24 : On compte 304 voix contre le blocus, toujours pour l’UFR-ALL. Or, les feuilles d’émargement comptent moins de 304 signatures.
15h22 : La même manœuvre (découpage de post-it) aurait été réalisée chez les « pour le blocus » de l’UFR-ALL
15h19 : C’est l’UFR-ALL (Arts, Lettres, Langues) qui vote. Les « contre le blocus » viennent de voter, au tour des « pour ».
15h18 : Pour voter, il faut donner son post-it (une couleur par UFR). Des papiers auraient été déchirés pendant le vote des « contre le blocus » de l’UFR-ALL, dans le but d’obtenir plus de voix.
15h13 : Le vote du blocage UFR par UFR va débuter. Chaque filière est appelée. Les « contre le blocus » se lèvent dans un premier temps, puis les « pour ». Le vote se fait UFR par UFR.
15h10 : Un membre du comité : « Vous voulez vraiment arrêter un blocus alors que ça a donné des résultats ? Les enseignants-chercheurs nous soutiennent. Vous aurez vos années et nous faisons tout pour que les prochaines générations aussi. »
15h08 : L’ambiance monte, la parole est souvent coupée.
15h06 : Nathan, étudiant de l’UFR-ALL : « Est-ce normal qu’une loi qui va dicter nos futurs soit incompréhensible ? »
15h05 : Encore deux prises de parole avant de passer au vote !
15h : Point en direct avec Nolann, reporter RCL présent sur place :
14h57 : Le comité précise que le débat concerne le Plan Etudiant, pas le blocus.
14h55 : Mehdi, étudiant en Arts du spectacle : « Je suis étudiant précaire. Vivre avec la bourse c’est compliqué. Avec la loi ORE j’aurais jamais pu entrer en cinéma. Et si les bourses baissent, je devrais abandonner mes études. Respectez le droit des autres. Merci. »
14h54 : Marie, étudiante de l’UFR-ALL : « Bloquer un seul bâtiment ne sert à rien. Bloquons tous ensemble. »
14h50 : Le comité précise qu’aucun syndicat ni aucune organisation politique n’est lié(e) à l’organisation de l’Assemblée Générale.
14h44 : Un étudiant : « La sélection qui favorisera la précarité sociale est fausse, les quotas permettent à un nombre de lycéens boursiers de poursuivre leurs études. » Sa prise de parole suscite un tonnerre d’applaudissements et de huées.
14h42 : Zoé, étudiante en droit : « Les formations non sélectives resteront non sélectives. 5 500 places créées en L1 pour la rentrée 2018« .
14h40 : Ludovic, étudiant en droit : « En examinant la loi, on se rend compte que soit elle est silencieuse, soit elle dit le contraire de ce que vous prétendez. Vous ne militez pas contre le Plan mais contre le gouvernement. »
14h35 : Olivier, représentant du département d’anglais du Saulcy : « Nous nous trouvons dans une décision très peu démocratique. »
Thomas Metzinger, enseignant et ancien étudiant du Saulcy : « La loi a peut-être déjà été votée. Mais la réforme du CPE aussi, et des blocus l’ont résorbée. » (CPE = Contrat Première Embauche)
14h30 : Dahman, membre du comité de mobilisation de Nancy, a fait le déplacement. Il était au micro de Radio Campus Lorraine :
14h25 : Frederic Montebello, enseignant à l’UFR-ALL : « Vous n’avez pas besoin d’avoir fait Sciences-Po pour savoir que quand quelqu’un n’est ni de gauche, ni de droite…il est de droite. »
14h20 : Un représentant SNESUP-FSU Lorraine (syndicat d’enseignants) : « Pourquoi évaluer des bacheliers puisqu’ils ont le bac ? »
14h19 : Prise de parole du directeur de l’UFR Arts, Lettres et Langues « après réunion, la direction est contre la loi ORE. Tous les membres du département Arts s’engagent à faire tout ce qui est possible pour que les étudiants soient évalués dans les meilleures conditions. Il faut maintenir la démocratisation de l’enseignement supérieur« .
14h15 : Un intervenant : « Demander l’abrogation de la loi ce n’est pas possible, elle a été votée. »
14h10 : Il faut s’inscrire et écrire sa proposition auprès de la tribune pour pouvoir prendre la parole.
14h : Point en direct avec Nolann, reporter RCL présent sur place :
13h58 : Certaines personnes ont applaudi à l’annonce du déblocage du campus de Strasbourg par des CRS.
13h52 : Des membres du comité de mobilisation de Nancy ont fait le déplacement. Pour Dahman, « La fac de lettres est l’une des plus bloquées de France. J’espère qu’à Metz les étudiants seront aussi courageux que ceux de Nancy. Je vous encourage à voter le blocage, que Metz prenne la relève. Nancy n’abandonnera pas. »
13h42 : Au tour de la CNE (Coordination Nationale des Etudiants) d’être abordée : on demande à ce que la capitale mosellane soit prononcée « Messe » et pas « MeTze », sous les applaudissements de la foule.
13h40 : Première prise de parole d’une étudiante, elle interrompt la présentation du Plan Etudiant. Elle demande à son interlocuteur de rester objectif. Elle est invitée à se rasseoir et à respecter les temps de parole.
13h37 : A l’ordre du jour : le Plan Etudiant, la convergence des luttes, le compte-rendu de la CNE (Coordination Nationale des Etudiants), la situation du Saulcy et celle de Nancy, ainsi que la situation nationale. Ensuite viendront les interventions du personnel, puis les propositions et revendications.
13h35 : 12 interventions maximum pourront avoir lieu. La parité sera respectée dans les tours de parole donnés.
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