Claire est étudiante à Metz, et quelques jours avant la rentrée pour sa deuxième année à la fac, elle a profité d’un festival sur les bords de la Seine. 

Un an après mon tout premier festival, je retourne sur les terres du Parc de Saint Cloud, dans une ambiance « jungle » (le thème de cette année).

Au fil des années, le festival parisien prend de plus en plus d’ampleur. Il rassemble maintenant des gens venus du monde entier (beaucoup d’anglais, d’irlandais, d’espagnols, de portugais, voire même des américains…!). Sans omettre les artistes de grande renommée que le festival parvient à inviter chaque année.

Mon top 5 des concerts :

Attention! Non conforme à l’ordre de préférence, tout simplement parce que je n’ai pas réussi à les classer !

     Glass Animals

J’étais déjà tombée amoureuse de leur musique… Leur concert n’a fait que confirmer le bonheur qu’elle m’apporte quand je l’écoute. D’autant plus qu’il s’est déroulé sur la scène pression live, ma scène préférée (il n’y a pas vraiment d’explication à cela, sûrement sa configuration).

     Alt J

Ce groupe réussit à nous transporter très loin, notamment grâce à la voix atypique du chanteur et aux chansons toutes plus planantes les unes que les autres, alliant celles du premier album « An awesome wave », ainsi que du plus récent datant de 2014 « This is all yours ».

      Handbraekes

On connaissait déjà très bien séparément les DJs Boys Noize, ainsi que Mr Oizo et son légendaire « vous êtes des animaux ». Cependant, c’est en collaboration que je les découvre ce soir, autant dire que j’ai été plus qu’agréablement surprise. C’est comme si les types avaient toujours été faits pour mixer ensemble, et qu’ils viennent à peine de le découvrir. Ce soir, ils ne forment plus qu’un. Mais malgré ça, chacun ajoute une note indispensable. On en prend plein les oreilles pendant 1h10 et notre corps ne peut s’arrêter de se mouvoir. Alors, bien sûr, si vous écoutez ça : vous me direz que leur musique ne paye pas de mine, mais en live le résultat est beaucoup plus entraînant et apporte un réel « plus », comme tout concert électro qui se respecte.

    Tame Impala

Groupe récemment connu mais déjà légendaire. La plupart des festivaliers sont venus pour les voir (entre autres…). En plus de leur prestation quasi parfaite et professionnelle, le visuel psychédélique participe à notre captivation pour le concert.

      The libertines

De tous les côtés et jusqu’au fond, la Grande scène est bondée. Pete Doherty (dois-je souligner qu’il n’est plus le sex symbol qu’on connaissait… ?) et Carl Barat sont très complices, ils chantent souvent dans le même micro. Le résultat est propre, Pete balance quelques phrases -un peu bancales- en français, et en vient même à chanter « Les copains d’abord ». Le public est en osmose et chantonne ensemble les airs du groupe mythique.

Je pourrais également parler du groupe The Offspring, qui me plonge dans le passé. J’ai l’impression d’entendre mon frère écouter ce groupe dans sa chambre, au début des années 2010. Quelques pogos sont entrepris durant le concert mais ça reste bon enfant.

En dehors de la musique

Agréable surprise lorsque j’aperçois un stand Lorrain sur le site ! Pour le coup fière de mes origines, je m’empare d’une carte de la Lorraine, un livre de recettes pour cuisiner les mirabelles, et attrape un bracelet « La Lorraine » que j’enfile aussitôt.

Différents bars sont présents sur le site, avec différentes ambiances : permettant de se rafraîchir pour un coup plutôt élevé.

Lorsque j’ai le temps entre deux concerts et que mon ventre commence à crier famine, je m’arrête dans le coin des stands de nourritures de pays du monde. Ici on peut manger irlandais, éthiopien, caribéen, asiatique, italien…

Et vous Rock en Seine c’était comment ? Vos coups de cœur?