Parcoursup: 1er bilan de l’université et du rectorat de l’academie Nancy-Metz
C’est l’heure du bilan pour l’université de Lorraine et les rectorat Nancy-Metz. Selon les chiffres du rectorat, sur les 24 554 jeunes inscrits sur la plateforme ( dont 20 401 ), seulement 20 candidats seraient sans solutions.
Au lendemain de la phase principale de Parcoursup, le bilan fait par l’université de Lorraine semble positif. En effet, seulement 20 candidats ayant demandé l’accompagnement de la CAAES (Commission Académique d’Accès à l’Enseignement Supérieur) sont sans solution.
Sabine Chaupain-Guillot, vice-présidente du Conseil de la Formation, affirme :
« À l’Université de Lorraine, la rentrée est sereine, il n’y a pas de modification majeure par rapport à l’année dernière. Comme nous l’avions annoncé, tous les lycéens de l’académie de Nancy-Metz qui souhaitaient s’inscrire en licence ont trouvé une place à l’Université de Lorraine. Dans les IUT, s’il reste des candidats sur liste d’attente (moins de 300), il y a encore des places vacantes dans certains départements. Globalement, grâce au travail que nous avons mené en commun avec les services du rectorat, et que nous poursuivons, tous les néo bacheliers lorrains qui le souhaitaient ont trouvé ou vont trouver une formation correspondant à leurs attentes. »
Au 6 septembre, il semblerait que très peu de jeunes lorrains soient dans l’inquiétude. L’université affirme n’avoir connu aucune difficulté pour accueillir tous les étudiants qui le souhaitaient en licence, filières sous tension comprises. Il resterait près de 2 000 places disponibles en phase complémentaire pour tous les candidats encore sans solutions.
La rentrée commence en Lorraine, avec près de 8 612 néo-bacheliers sur les 12 981 inscrit en première année.
Même si l’université ne donne pas le nombre exact de candidats lorrains toujours sans réponse et n’évoque pas les solutions envisagées pour les candidats dits »inactifs » ou encore les candidats en réorientation, elle dresse un bilan plutôt satisfaisant sur les nombreuses inquiétudes suscités par la nouvelle plateforme d’orientation.