Les étudiant.e.s : « fantômes » de la crise sanitaire
Parmi tous les cursus scolaires, celui des études supérieures et en particulier les étudiant.e.s des universités est celui le plus touché par la crise. Radio Campus Lorraine, à l’occasion de la semaine consacrée à la détresse psychologique et au décrochage scolaire des étudiant.e.s leur a donné la parole.
Pour témoigner de la détresse psychologique et du décrochage scolaire des étudiant.e.s, nous sommes allés à la rencontre de ceux directement concernés. Les étudiantes et les étudiants. Sur notre chemin, nous avons recueillis les témoignages de Juline, en troisième année d’information et communication à Nancy.
[hearthis]https://hearthis.at/radio-campus-lorraine-mu/itv-juline-montee/[/hearthis]Celui de Rozenn, fraichement débarquée dans le monde universitaire puisqu’elle réalise sa première année d’information et communication à Nancy.
[hearthis]https://hearthis.at/radio-campus-lorraine-mu/itv-rozenn-montee/[/hearthis]Les paroles de Flavie, étudiante en prépa scientifique qui, du fait des différences pédagogiques entre une prépa et des cours en universités ressent moins les difficultés liées à la crise sanitaire.
[hearthis]https://hearthis.at/radio-campus-lorraine-mu/itv-flavie-montee/[/hearthis]Puis enfin, les mots de Quentin, étudiant en double licence à la faculté de droit-économie de Nancy. Qui dans cette interview s’adresse au nom de toutes les étudiantes et les étudiants pour leur affirmer son soutien. Par ses mots et par son discours, il laisse transparaître la détresse qui touche ceux qui seront l’avenir de demain.
[hearthis]https://hearthis.at/radio-campus-lorraine-mu/itv-quentin-montee/[/hearthis]De tous les témoignages que nous avons pu recueillir, une même chose ressort : un ras-le-bol général. Pour une majorité les étudiant.e.s sont à bout et ne veulent qu’une chose, retrouver au plus vite les campus. En attendant, ils demandent plus de considération, plus d’écoute et plus de moyens de la part du gouvernement.