Une politique environnementale de façade? Les étudiants haussent la voix
Évènement politique incontournable et internationale, la COP26, conférence des membres de l’ONU sur le changement climatique, touche à sa fin après 2 semaines de discussion. À l’heure de l’urgence d’agir pour l’environnement, les étudiants haussent la voix et n’attendent qu’une chose : être entendus mais surtout écoutés.
Des politiques environnementales faisant débat
Malgré toutes les belles promesses faites à la COP26, elles sont controversées. Activistes et ONG environnementales parlent de beaux discours sans action réelle… Dernière le « dernier et meilleur espoir » (Alek Sharma, président de la 26e édition de cette conférence), c’est surtout l’image d’un « festival mondial du greenwashing » (Greta Thunberg) qui prédomine.
Les étudiants aussi, population de plus en plus touchée par les problèmes climatiques, accusent le coup. Ils en viennent à questionner l’utilité même de ces réunions.
Fausses solutions climatiques donc. Mais l’influence de la politique en matière d’environnement pose question. Beaucoup reproche leur crédibilité notamment vis-à-vis de l’action des politiciens eux-mêmes et des mensonges qu’ils véhiculent en conséquence. L’expression « fais ce que je dis, pas ce que je fais » semble collée aux fronts des gouvernements du monde entier.
Une jeunesse fleurissante d’idées vertes…
Nous savons tous qu’il existe des gestes simples à pratiquer au quotidien. Le souci serait juste de savoir lesquels sont les plus efficients. Petit debrief de l’engagement de nos étudiants lorrains :
La mise en place d’autres solutions, impliquant davantage de moyens, peut toutefois se faire. A noter que l’impact en sera d’autant plus fort. La jeunesse, qui ne demande qu’à être écoutée, nous confie quelques idées : politiciens, politiciennes, prenez des notes!
La recette du combo parfait : un mariage équilibré entre initiatives personnelles quotidiennes et encadrement gouvernemental strict. Mais cela est-il possible, envisageable? La sonnette d’alarme résonne depuis bien trop longtemps : à quand l’émergence d’une réelle politique plus verdoyante?
