LE CABARET VERT – JOUR 3
Le Cabaret Vert, toujours dans sa lancée, a signé ce vendredi le troisième jour du festival.
« Toujours autant de pluie chez moi »
Ce n’est pas un jour comme les autres : le beau temps a tiré sa révérence pour laisser place au froid et à la pluie.
Est-ce une raison de s’arrêter ? Ce n’est pas ce que les festivaliers nous ont fait comprendre. Ça n’a pas empêché de faire danser les festivaliers, malgré la boue et le froid, et de remplir le vendredi, journée d’ailleurs Sold out.
Au contraire, la pluie a sûrement inspiré les têtes d’affiche : H.E.R pour interpréter Make it rain, ou Orelsan, scandant « toujours autant de pluie chez moi » (La Pluie), qui se sont produits sur la scène Zanzibar après Little Simz. et d’un autre côté, à l’Idéal, c’était le moment de faire un débat sur ceux qui ont abandonné leurs grandes écoles pour une vie qu’ils jugent plus compatible avec les enjeux environnementaux, ou plus simplement formulé : l’investissement des jeunes face à l’inaction climatique.
SCH Laisse place à Freeze Corleone
Ce n’est d’ailleurs pas SCH qui s’est produit en fin de soirée sur la scène Zanzibar. L’artiste a été annulé et vite remplacé par le rappeur Freeze Corleone. Mais pour débuter la journée, se sont les locaux rémois qui se sont produits sur les scènes Illuminations et Green Floor. Le rappeur San-nom d’abord, et le groupe de rock Chester Remington.
Ont suivi après San-Nom sur la scène Green floor, Bianca costa, Slimka, le Juiice, Luv Resval, Alyona Alyona, La Forge, Nathan Zahef, Denis Sulta et Sama’ Abdulhadi.
Illuminations toujours aussi lumineux
Du côté d’Illuminations, c’est Wolf Alice qui a suivi le groupe rémois, Frank Carter and the Rattlesnake, Ziak et son fameux « Zipette, Zipette », Clutch et le magnifique duo de Kasst pour conclure la soirée.
Razorback en feu
Et Razorback a accueilli Somah, Frankie and the Witch Fingers, Yard Act, Pink Sifu & Negro’G, et Meatbodies. Au Temps des cerises, c’était Asher Selector Mathilda Dona King Shone Juda Roger Tzion de retour, John Erbas & Otavio, et enfin Ian Ash Lord Funk Sydney.
Vous l’aurez donc compris : « Cabaret boueux, cabaret heureux ! ».
Rédaction de l’article : Zoé Vannarath